Rencontre avec Pascal Caumont

Après avoir grandi dans une famille de musiciens populaires, Pascal Caumont obtient le Certificat d’Aptitude à l’enseignement des musiques traditionnelles. Son travail s’axe majoritairement autour des polyphonies pyrénéennes mais ils s’intéressent également aux styles et techniques vocales d’Italie du Nord, de Sardaigne et d’Espagne. Professeur au conservatoire et à l’IFMI-Université de Toulouse Jean-Jaurès, il est régulièrement invité au conservatoire supérieur de Barcelone et dans d’autres structures d’enseignement supérieur (Cefedem, Universités, CFMI…) pour partager sa recherche sur le son de la polyphonie, ses styles et sa fonction sociale. Directeur musical de Vox Bigerri, il donne de nombreux concerts en Europe.

Pour la 3e année consécutive il est à Sylvanès du 18 au 20 août pour partager sa vocation : transmettre les polyphonies pyrénéennes à différents publics, chanteurs amateurs ou professionnels.
Nous l’avons rencontré :

« Depuis quelques années je me rends tous les ans à Sylvanès. C’est un lieu qui m’est cher de par son acoustique exceptionnelle et sa situation géographique, comme isolée du monde. Quel cadre formidable pour la transmission ! La réverbération du son permet un travail de la voix inédit, elle peut s’ouvrir, se développer, elle est comme portée dans l’air, sans parasitage sonore ! »

Ses élèves sont conquis et s’enchantent à la fois de la sonorité de l’église et du répertoire choisi, alternant chants sacrés et chants profanes. La pédagogie originale de Pascal Caumont, sans partition est axée sur la mémoire corporelle : « Travailler avec son corps comme un instrument de musique. »

« Le travail sans partition est motivé par l’objet d’études, les polyphonies traditionnelles ont toujours été transmises par le moyen de l’oralité. Contrairement au chant avec partition, différentes voix sont possibles, j’incite mes élèves à développer la souplesse de leur voix, à chercher dans leur corps différentes zones de résonnance, de vibration. La posture corporelle est fondamentale, elle permet d’optimiser le rayonnement de la voix. »

« Capter la mémoire vive, la sauvegarder, la transmettre et ouvrir sur des créations », tel est l’objectif de Pascal Caumont. « En Afrique, un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle ». Ce célèbre proverbe attribué à l’écrivain, diplomate et ethnologue Peuhl, Ahmadou Hampaté Bâ, lors de son discours du 22 septembre 1960 à l’UNESCO à l’occasion de l’indépendance du Mali, entre en résonance avec le travail de collectage du chanteur.

Il définit son activité comme le fait de voyager avec un enregistreur pour rencontrer des chanteurs porteurs de chants inconnus. Il s’agit pour lui, non seulement de moissonner des chansons inconnues, mais aussi d’écouter comment chaque personne parvient à faire vibrer sa voix. Chaque individu a sa propre identité vocale et cette dernière transmet toujours un message.

« Mon travail consiste aussi à aller chercher le sens que les gens donnent à la musique. Dans le monde, sa fonction n’est pas toujours exclusivement esthétique, elle crée aussi un espace et des liens invisibles entre les personnes. Pour les Pygmées par exemple, le fait de chanter ensemble soude la communauté.
Je me sers beaucoup de mes recherches pour le chant collectif… l’objectif du groupe est de construire un tissu sonore, de réaliser un son collectif. Les chants traditionnels s’habillent chaque jour de nouvelles voix, malgré l’ancienneté de notre répertoire, du XVeau XXe siècle, nous sommes tous des chanteurs contemporains. »

 

Pascal Caumont et ses 20 élèves stagiaires ouvriront une fenêtre sur leur travail lors d’une restitution publique ce jeudi 20 août à 16 h en l’abbatiale.

Ce dimanche 23 août à 17 h  en l’abbatiale, avec ses collègues chanteurs de Vox Bigerri, il partagera la scène avec l’Ensemble Marani dans le cadre du 43 e Festival pour une rencontre polyphonique inédite ! Réservez vos places ICI !

 

 

Derviche et l’envoûtement du soufisme

Enorme succès au Festival ce vendredi 7 août pour l’hypnotique spectacle « Derviche », abondamment alimenté du souffle du soufisme…
Ce soir là, le public s’est laissé transporté par la magnétique association du trio franco-syrien Bab Assalam et de l’étonnant artiste circassien Sylvain Julien, spécialiste mondial du hula hoop.
Dès les premières minutes, la musique enchanteresse a plongé le public dans une sérénité absolue.

Elle l’a ensuite fait basculer dans une sorte de transe par un changement d’ambiance provoquée par la diversité des instruments joués des plus traditionnels (oud, clarinette, percussions…) aux plus electros comme le sylphyo (clarinette électrique) et la clariney ( mélange d’une clarinette et d’une flûte orientale appellée ney) illustrant un véritable pont entre l’Orient et l’Occident.

 

De son côté, Sylvain Julien a fasciné l’auditoire par ses mouvements envoûtants et sa danse, inspirée de celle des Derviches. D’abord sa seule gestuelle d’apparence simple, fluide, continue, a permis de se laisser bercer, faisant corps avec la musique. Puis le mouvement d’un cerceau rouge, puis de plusieurs qui semblaient littéralement voler autour de lui ont plongé les 220 spectateurs au plus profond d’eux mêmes, certains abandonnant avec confiance leur conscience pour n’être plus que des yeux qui contemplent et des oreilles qui entendent.

C’est émerveillé que le public est peu à peu sorti de son somnambulisme, pour se lever et applaudir avec plein d’entrain et de joie. L’objectif aura été atteint ce soir là par ces quatre fabuleux artistes : faire vivre « un voyage sans départ ».

Raphaëlle De Vogel 

Intense voyage musical au festival !

Ce dimanche 2 août, dans le cadre du 43e Festival Musiques sacrées – Musiques du monde, les spectateurs de l’abbaye de Sylvanès ont connu un intense périple musical en compagnie de l’Ensemble La Fenice et du trio Diana Baroni, Rafael Guel et Simon Drappier.
La Fenice, nom de l’ensemble dirigé par Jean Tubéry signifie en italien « le phénix ». Sur scène, six talentueux artistes nous ont conduit admirablement « Sur les rives de Babylone » faisant renaître le passé de ses cendres et en particulier le célèbre Psaume de David.

Le public a été séduit par ce riche programme de musique baroque interprété en cinq langues suivant le fil conducteur du psaume d’exil « Super flumina Babylonis ». La flûte virtuose et le cornet au son très aérien de Jean Tubéry se mariait parfaitement avec la voix fluide de Perrine Devillers. Une voix qui suivait son cours tranquille et imperturbable au fil des notes. Cette jeune soprano ne possède aucune limite dans son chant, qui offre la sécurité nécessaire pour se laisser transporter avec confiance. C’était un ensemble envoûtant porteur d’un sentiment intense d’élévation et d’évasion dans lequel chaque instrument y avait son rôle apportant ici ou là le son chatoyant du violon, le timbre chaud du violoncelle baroque, la profondeur du théorbe et la légèreté du clavecin. Le « bis » en anglais choisi par les artistes a fait sourire l’assistance pour la plupart surpris de découvrir que les paroles du tube disco planétaire de 1978 « Rivers of Babylon »étaient directement extraites du Psaume 137 qui commence ainsi  : « Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion. Aux saules des alentours nous avions pendu nos harpes…  »

Suite des réjouissances en soirée avec le spectacle « Femmes du Nouveau Monde ». Par leurs instruments et leurs chants fort atypiques, le trio a enveloppé l’auditoire dans une chaleur afro-amérindienne délicieuse.

Par son chant, la lumineuse Diana Baroni nous permet de faire toute la différence entre une personne qui fait de la musique et une femme qui vit sa musique. La flûtiste baroque et chanteuse partage la scène avec beaucoup de complicité avec ses musiciens : le mexicain Rafael Guel au vihuela et à la voix chaleureuse et Simon Drappier à l’arpeggione. Ce choix musical autour des personnalités féminines, mystiques, saintes guerrières…  enchaine tendresse, caractère, sensualité et tristesse avec l’accent ultime sur une profonde reconnaissance de vivre.

C’est en suivant le déclin du jour au travers des sublimes vitraux de l’Abbaye que le concert s’achève sous une nouvelle pluie d’applaudissements.
La vie est belle et remplie de couleur grâce à tous ces artistes qui continue envers et contre tout d’alimenter le festival cet été.
C’est le cœur plein d’enthousiasme que chacun a quitté l’abbaye, prêt à poursuivre très prochainement (dès ce mercredi 5 août à Millau) le voyage musical !

Le protocole sanitaire en vigueur à l’abbaye

Dans le contexte actuel, nous mettons tout en œuvre afin de vous accueillir dans les meilleures conditions. L’abbaye de Sylvanès, Centre culturel de rencontre a mis en place un protocole afin de respecter toutes les consignes sanitaires et assurer la sécurité du public, des artistes et de son personnel.

Ainsi dès l’entrée dans l’abbatiale les spectateurs ont l’obligation de porter un masque et de se désinfecter les mains avec du gel hydroalcoolique mis à disposition. Les portes sont ouvertes une heure avant le début du concert, permettant une régulation du public à l’intérieur comme à l’extérieur et d’éviter les files.

Cette année, le placement est libre pour tous les concerts, une distance minimale d’un siège est laissée entre les sièges occupés par chaque personne ou chaque groupe de moins de dix personnes venant ensemble, ainsi une fois assis les spectateurs peuvent s’ils le souhaitent retirer leurs masques (Décret n° 2020-860 du 10 juillet 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19). Avant et après chaque concert les sièges sont désinfectés.

Des membres de l’équipe de Sylvanès sont présents pour rappeler et faire respecter le protocole en vigueur.

 

 

Atelier choral Mozart et Académie d’été annulés, maintien des stages à petit effectif…

En accord avec les chefs de choeurs Bernard Tétu et Michel Piquemal, nous sommes au regret de devoir annuler l’atelier choral-production « Requiem de Mozart » et la 31e académie de chœurs et d’orchestre qui devaient rassembler de nombreux choristes et musiciens cet été à Sylvanès.

En effet, les contraintes de sécurité sanitaire qui nous sont imposées semblent peu adaptables à la pratique chorale de plus de 30 chanteurs, avec notamment l’impératif de distanciation spatiale (4 m2 par personne) et surtout le risque de transmission virale par voie aérosol : les chanteurs sont de grands postillonneurs ! Tout cela va à l’encontre d’une pratique chorale, d’un vrai travail de cohérence musicale d’un groupe dont l’efficacité dépend d’une écoute collective dans une proximité nécessaire à la qualité d’un son et d’une interprétation.
C’est bien sûr la mort dans l’âme que le Centre culturel de rencontre a pris cette décision car il ne peut prendre un tel risque qui engagerait sérieusement sa responsabilité. Mais sachez que nous nous engageons à reprogrammer ces ateliers en 2021.

Par contre, tous les stages à petit effectif, master classes, ateliers et résidences de moins de 10 artistes qui étaient programmés cet été sont à ce jour maintenus et il est possible de vous y inscrire en ligne. Ils se dérouleront bien entendu dans le strict respect des mesures de protection sanitaire qui nous seront imposées. Nous sommes toujours en attente des prochaines consignes gouvernementales (réouverture du site, rassemblements, déplacements…) mais nous gardons confiance et espérons que nous sortirons rapidement de cette situation difficile.

Concernant la tenue du Festival Musiques sacrées-Musiques du Monde, l’espoir, si faible soit-il, demeure et la mise en œuvre d’une programmation revisitée et allégée de cette 43e édition est toujours d’actualité avec une ouverture décalée au dimanche 26 juillet.
Bien sûr, nous vous tiendrons informés de l’évolution de la situation dès que nous le pourrons.

Et pour garder le sourire, voici une petite « chanson des confinés » transmise par le chef de chœur Daniel Bargier, réalisée, en confinement total avec ses élèves de direction et avec l’aide de Pierre Certon. La la la …préparons en chantant le déconfinement … !

En attendant le bonheur de retrouvailles musicales à Sylvanès, prenez soin de vous et de vos proches !

 

 

Vers un aménagement de l’édition 2020 du Festival ?

Chers tous,

Au Centre culturel de rencontre de l’Abbaye de Sylvanès, la situation est complexe, comme partout ailleurs dans le secteur culturel et nous sommes très inquiets du séisme que cette crise sanitaire, économique et sociale va engendrer dans tous les secteurs de notre société et tout particulièrement au sein du spectacle vivant et de la création artistique.

Il faut bien avouer que notre optimisme s’est considérablement affaibli ces derniers jours et nos certitudes sont fortement ébranlées quant au maintien de notre saison estivale. Cependant l’espoir, si faible soit-il, demeure et nous avons mis tout en œuvre pour maintenir une programmation revisitée de la 43e édition du Festival Musiques sacrées-Musiques du Monde, pour la vie de notre lieu, en solidarité avec tous nos amis artistes et créateurs et avec le soutien de nos partenaires institutionnels.

Depuis les dernières annonces gouvernementales, nous travaillons à aménager un nouveau calendrier de concerts avec une ouverture du Festival décalée au dimanche 26 juillet.

Malheureusement les concerts prévus début juillet ont été annulés ainsi que ceux qui faisaient appel à des artistes non européens. La majorité seront reportés en 2021, d‘autres ont été décalés sur le mois d’août. Par contre tous les stages d’été, master classes, ateliers, seront maintenus dans le respect des mesures de protection sanitaire.

Nous sommes en attente des prochaines informations gouvernementales concernant la sortie du confinement et les consignes sur la réouverture des sites patrimoniaux qui confirmeront ou infirmeront l’autorisation des grands rassemblements culturels de l’été. Nous vous tiendrons, bien sûr, informés dès que nous le pourrons.

Nous continuons d’espérer que le maintien de notre Festival qui constitue chaque année le point culminant de notre saison artistique et culturelle soit encore possible mais bien sûr, tout cela reste sous réserve d’une prochaine décision gouvernementale et la mise en place des mesures de précaution sanitaire qui nous seront imposées.

Soyez confiants mais réalistes ! En ces temps de crise, temps de l’épreuve, ne désespérons pas et raccrochons-nous à l’essentiel de nos valeurs les plus sûres et les plus humaines qui offrent sens, joie, espérance et lumière à nos existences meurtries et déboussolées !

Espérons et croyons comme le poète Hölderlin que « Là où croît le péril, croît aussi ce qui sauve ! »

Michel Wolkowitsky, Directeur artistique 

 

Revivez la Semaine sainte à Sylvanès !

Avec l’aimable autorisation du CFRT/ Le Jour de Seigneur, nous avons le plaisir de partager avec vous quelques extraits vidéos filmés lors de la Semaine Sainte 2007 dans le magnifique cadre de l’Abbaye de Sylvanès et en ligne sur sur VODEUS. Retour sur les plus beaux moments du triduum pascal : Office de la cène du jeudi saint, office de la Croix et de la Passion du vendredi saint et Veillée pascale du samedi saint. Chaque jour est introduit par le frère Benoît Vandeputte et commenté par notre cher Frère André Gouzes. Les célébrations sont présidées par le Père Philippe Baud, les chants dirigés par Béatrice Gaussorgues et Jean-françois Capony.

JEUDI SAINT : OFFICE DE LA CÈNE

VENDREDI SAINT : OFFICE DE LA CROIX ET DE LA PASSION

SAMEDI SAINT : VEILLÉE PASCALE

Trois autres extraits bonus sur VODEUS (plateforme vidéo du CFRT) sont disponibles en libre accès sur les liens suivants. Il vous suffit de créer un compte sur cette plateforme. C’est gratuit et vous y aurez accès sans limitation  !

https://vodeus.tv/video/jeudi-saint-a-labbaye-de-sylvanes-le-sermon-du-seigneur-2421

https://vodeus.tv/video/vendredi-saint-a-labbaye-de-sylvanes-la-passion-selon-saint-jean-2422

https://vodeus.tv/video/samedi-saint-a-labbaye-de-sylvanes-exultet-de-la-vigile-pascale-2423

 

DES LAMENTATIONS EN DIRECT OU PRESQUE  ! 

Respectivement confinés à Sylvanès, Lyon et Bordeaux,  Michel Wolkowitsky, Guy Lathuraz et Jean-Philippe Fourcade ont souhaité partager avec vous les Lamentations du Prophète Jérémie du jeudi saint, vendredi saint et samedi saint.

Merci à Rachid Belhasna pour la réalisation de cette première vidéo ! 

HOMÉLIES SEMAINE SAINTE 2019 – Père Philippe Baud à télécharger ICI

Belle fête de Pâques à tous  !

Veillée pascale en l’abbatiale de Sylvanès, ©J-M.Saumade

Grandir en musique ! #3

Le mardi 25 février, les artistes de la Compagnie Rassegna ont rejoint le scriptorium  de l’abbaye, transformé en salle de spectacle pour y accueillir 8 classes participantes au projet « Chorale à l’Ecole » initié par le Centre culturel de rencontre. 

Pour ce premier rassemblement inter-écoles à Sylvanès, les quatre artistes ont embarqué les élèves autour de la Méditerranée à la découverte de chants siciliens, hispaniques, provençaux ou encore arabo-andalous. Un magnifique voyage musical porté par des timbres puissants et par plusieurs instruments traditionnels (guitare flamenca, violon arabo-andalou, bendir berbère, cajón…) pour lequel les enfants se sont montrés curieux et enthousiastes !

L’après-midi, les élèves se sont rassemblés sous la direction de Mélodie, musicienne intervenante désormais bien connue de tous, afin de travailler, en grand chœur, les chansons apprises précédemment en classe. Rythme, justesse, mémorisation : pas facile lorsque l’on est 140 ! Mais l’expérience était porteuse, avec la patience et le talent de Mélodie et l’acoustique du scriptorium !

Après cette journée musicale bien remplie, les enfants poursuivront le travail en classe avant un prochain rassemblement prévu à Sylvanès le 21 avril !

Rappelons que ce projet reçoit le soutien privilégié de la Communauté de Communes Monts, Rance et Rougier, le Conservatoire de l’Aveyron, la DSDEN de l’Aveyron, Aveyron culture – Mission départementale et la DRAC Occitanie.

Les autres articles sur le projet Chorale à l’Ecole : 

Grandir en musique ! #1
Grandir en musique ! #2

Visitez l’abbaye pendant les vacances !

A celles et ceux qui ne rejoindront pas les pistes de ski pendant ces vacances de février, nous rappelons qu’il est possible de visiter l’Abbaye de Sylvanès, ouverte tous les jours du lundi au vendredi, de 9h30 à 13h00 et de 14h00 à 17h30 !

Livret de visite en mains, partez à la (re)découverte de ce joyau de l’art cistercien : laissez-vous surprendre par les dimensions étonnantes de la nef, admirez les jeux de lumière à travers les nouveaux vitraux et déambulez paisiblement sous le cloître… À moins que vous ne préfériez, tablette numérique à l’appui, relever les défis d’Hugues Francigena pour retrouver les outils égarés du moins copiste ? (pour tous dès 8 ans)

Pour les familles, un parcours sous forme de jeu de piste interactif sera mis en place mercredi 19, jeudi 20 et vendredi 21 février ! Un plan, des indices cachés, des anecdotes et devinettes posées par les moines et les bâtisseurs qui ont autrefois animé le lieu promettent de passer un moment ludique où les compétences et les connaissances de chacun seront mises à l’épreuve ! Deux niveaux de jeu pour le plaisir de tous (4-6 ans et 7-10 ans)

Tarifs : visite libre (livret ou tablette) ou jeu de piste : 3 € par personne