Une Académie Saint-Saëns pour jeunes chanteurs

Pour célébrer le centenaire de la disparition de Camille Saint-Saëns, Les éléments – Centre d’Art Vocal Occitanie et l’Abbaye de Sylvanès – Centre Culturel de Rencontre s’allient dans la réalisation de cette académie d’été (du 2 au 10 août 2021) destinée aux chanteurs étudiants et aux amateurs confirmés.

Une transcription du Requiem de Saint-Saëns pour orgue et harpe, commandée spécialement pour la circonstance, est la pièce maîtresse du programme qui rend hommage au grand compositeur français. Une sélection de motets et chansons complètent ce programme !

 

Les inscriptions sont lancées jusqu’au 23 avril  ! 

Le recrutement des choristes se fait sur audition : mercredi 5 mai 2021 à Toulouse entre 13h et 20h (lieu à confirmer)

Profil recherché : élèves de conservatoire, étudiants en musicologie, amateurs avec une bonne expérience de pratique musicale et chorale

Ne tardez pas à adresser  votre CV de chanteur (parcours, professeur, expérience chorale) et, si possible, un extrait audio ou vidéo à l’adresse suivante  :  juliette.magniez@les-elements.fr avant le 23 avril 2021.

en savoir plus sur cette Académie sur le Blog des éléments 

Diana Baroni Trio en résidence

La flûtiste et chanteuse Diana Baroni accompagnée de ses musiciens complices Rafael Guel et Ronald Martin Alonso sont en résidence d’enregistrement de leur album « Mujeres del nuevo mundo » du 13 au 17 avril à l’Abbaye de Sylvanès.

Un grand bonheur de les accueillir pour ce programme déjà donné dans le cadre du festival le 2 août 2020 : magnifique hommage poétique et musical aux personnalités féminines, mystiques, saintes, guerrières, poétesses selon la tradition des peuples indigènes afro-amérindiens.

Musicienne entre deux mondes, l’Argentine Diana Baroni mène des projets authentiques, en créant des liens entre les sonorités baroques et la tradition orale des colonies du Nouveau Monde. De cette approche, elle invente une musique à la fois riche, émouvante et entraînante, dans laquelle les passions latines se révèlent dans toute leur beauté. Autour d’elle, on retrouve des musiciens complices venant des horizons et traditions ancestrales, comme le mexicain Rafael Guel, sensible instrumentiste touche à tout, qui accompagne Diana de sa voix chaleureuse et le virtuose franco-cubain Ronald Martin Alonso à la viole de gambe.

Création de tableaux sonores pour les élèves à l’École de l’Oralité

Une seconde résidence artistique s’est déroulée mi-mars au collège de Belmont-sur-Rance dans le cadre de l’École de l’Oralité. Pas de danse au programme cette fois ci, en raison du renforcement des contraintes sanitaires interdisant la pratique du sport et de la danse en salle, mais Emmanuel Bardon et Ismaïl Mesbahi s’étaient munis pour l’occasion d’un riche instrumentarium dans l’objectif de créer des paysages sonores.


Au cours des séquences de travail, les artistes ont amené les élèves à travailler leur posture, à affiner leur engagement du geste et de la parole. L’objectif est que chacun.e trouve sa place dans une construction collégiale, que ce soit par le corps, la voix ou l’instrument. C’est dans cette optique que chaque classe a créé un « tableau sonore » en lien avec l’un des sept jours de la Création, dans lequel on peut entendre une mélodie (chant), un accompagnement rythmique (percussions) et la manipulation d’objets (divers petits instruments).

exemples d’instruments manipulés par les élèves  :
Daf (grand tambour de tradition persane) / Darbouka (percussion répandue en Afrique du Nord, Moyen-Orient et Balkans)
Sanza (« piano à pouces » africain)/ Sagattes (petites cymbales utilisées dans la musique orientale)
sans oublier les calebasses, les bols chantants, les divers appeaux ou encore la cithare.

 

Deux « tableaux » ont vu le jour au cours de cette seconde résidence : celui de la séparation du Ciel et de la Terre et celui de l’apparition de l’Homme. A partir de leurs différentes recherches et expérimentations vocales, musicales et corporelles, les élèves créeront au final sept tableaux mis en musique, en danse et en couleur par l’une des sept cultures rencontrées au cours de leur chemin : l’Arménie, le Kurdistan, l’Espagne séfarade, la Turquie, l’Espagne arabo-andalouse, la Grèce…et bien sûr l’Occitanie !


Pour mémoire, cette création artistique collective verra le jour début juin 2021 à l’Abbaye de Sylvanès, où les élèves présenteront une restitution de leur travail, entourés pour l’occasion par des musiciens professionnels.

Retrouvez les précédents articles pour en savoir plus sur l’École de l’Oralité  

 

Emmanuel Bardon, un enfant de Sylvanès

Installé à Saint-Étienne, le directeur musical de Canticum Novum est attaché à l’Aveyron et en particulier à Sylvanès. Venu en septembre 2020 avec son ensemble enregistrer leur dernier album, il sera de retour en 2021 avec plusieurs projets artistiques.

Comment as-tu découvert Sylvanès ?
J’ai découvert l’abbaye par l’intermédiaire de mes parents à l’âge de 4 ans car papa (le violoncelliste Marcel Bardon) faisait partie des musiciens qui ont participé aux premières rencontres musicales en 1976. Après, tous les ans, nous sommes venus régulièrement à Pâques, à Noël et passer nos vacances d’été en famille dans ce lieu merveilleux.

Un de tes premiers souvenirs à l’abbaye ?
Ils sont nombreux ! Ce ne sont que des souvenirs heureux de mon enfance, des belles images, des moments joyeux de complicité et d’amitié avec André qui nous racontait des histoires entouré de la chienne Mayouchka, le corbeau Adémar et la chèvre de Blanche… On avait l’impression d’être libres, on pouvait vadrouiller, explorer; on s’était fait un coin cabane sur la galerie au dessus de la porte du cloître, on piquait quelques restes de cierges, on y grimpait et, depuis notre repaire, on observait les adultes dans l’abbatiale !

Peut-on dire que tu es un enfant de Sylvanès ?
Oui, je me considère vraiment comme un enfant de Sylvanès même si je n’y suis pas né et n’y ai jamais habité. Je suis un enfant d’adoption ! J’ai aussi vécu l’évolution du lieu à travers les années (sa renaissance, les projets musicaux, les différents chantiers, la construction de la chapelle orthodoxe aussi…). Et encore aujourd’hui je reste toujours étonné de ce que je vis dans ce lieu. Comme dernièrement en septembre, après cette difficile période estivale dont je suis sorti moralement et physiquement très éprouvé : dès que je suis entré dans l’abbatiale, tout s’est lâché et nous avons passé avec l’Ensemble cinq jours d’enregistrement merveilleux.

Ensemble Canticum Novum en résidence à Sylvanès, © Pierre Grasset

Sylvanès a-t-il influencé ton parcours professionnel ?
Il y a en effet quelque chose de commun entre les deux et je dirais même que dans Canticum Novum, il y a de l’ADN de Sylvanès !
Je me suis rendu compte, évidemment aujourd’hui que le projet humain, musical de l’ensemble était lié à mon environnement familial, à mon parcours, à cette dimension inter culturelle dont j’étais entouré et particulièrement à Sylvanès avec tous ces chantiers culturels, les personnes de plusieurs religions qui fréquentaient le lieu. Dès qu’on venait à l’abbaye, il y avait cette émulation, l’intelligence, la beauté… on était entouré par ça.
J’ai créé l’association en 1996 et l’aventure a vraiment décollé en 2006 quand j’ai fait le choix de recentrer le projet autour de mes aspirations humaines, en lien avec mon territoire de vie dans la région de Saint-Étienne.

Le dialogue des cultures…une thématique forte pour l’Ensemble ?
Cela fait 15 ans maintenant que l’équipe est constituée et qu’elle s’est étoffée au fil des années avec aujourd’hui un collectif d’une vingtaine de musiciens de plein de cultures différentes liés de cette même envie de vouloir partager aux autres une culture dont ils sont dépositaires. Ainsi, en partageant nos mémoires individuelles, on réussit ensemble à construire quelque chose et à créer une mémoire collective.

Un projet très en lien avec celui du CCR de l’abbaye ?
Tout à fait. D’ailleurs l’ensemble est de plus en plus présent à l’abbaye et j’en suis ravi. Les choses se sont construites petit à petit. On a pris le temps de se trouver musicalement en plus de la relation d’amitié et de confiance qui a toujours existé avec Michel Wolkowitsky.
J’arrive à Sylvanès avec un projet pertinent, avec une histoire, des propositions artistiques et d’éducation artistique qui « collent » parfaitement au lieu et c’est génial !

Confinement#2, la parole aux artistes

Ils sont artistes et se sont produits cet été dans le cadre du Festival de l’Abbaye. Ils ont accepté de livrer leur ressenti sur ce deuxième confinement et cette période cruelle pour le secteur du spectacle vivant !

Raphaël Vuillard de l’Ensemble Bab Assalam

 

Extrait d’une lettre de Bab Assalam intitulée « Spectacle dans le brouillard d’esprit » adressée aux professionnels du secteur  : « Bab Assalam est en état de sidération, devant la situation catastrophique du monde, de la France, des institutions et plus particulièrement de la Culture. Tout ce pourquoi nous luttons depuis des années est anéanti ou risque de l’être. Mes amis, musiciens Syriens avec qui nous avons créé Bab Assalam ont du fuir leur pays, face à la dictature, au péril de leur vie et sont venus me retrouver en France espérant des jours meilleurs. Aujourd’hui, nous sommes encore loin de l’état syrien, mais le bruit des bottes se rapproche dangereusement, nos libertés sont bafouées chaque jour un peu plus et la culture est dans le viseur de l’état. Nous nous plions aux directives sanitaires, au couvre feu, aux confinements, à l’arrêt total de nos professions, bien sûr nous avons l’année blanche et l’activité partielle…
Jusqu’où pourrons nous tenir?
Penser et imaginer une nouvelle création… comment, pourquoi, pour qui?

[…] 

Des reports, des agendas rocambolesques, nous venons même de bloquer 3 dates pour un concert sur 3 mois différents… pour être sûr, au cas où…
Alors oui, cela suffit !
Nous ne ferons pas de nouvelle création pour le moment.


Notre Derviche n’a pas suffisamment « tourné », il est d’actualité,  il est sensible jusqu’à la folie, alors oui nous avons l’audace de croire qu’il pourra continuer son chemin de Derviche errant, comme Chams de Tabriz emmena Al Rûmî dans son rêve.

Ô soleil de Tabriz ! J’étais neige, à tes rayons je fondis, la terre me but.
Brouillard d’esprit, je remonte vers le soleil.
Al Rûmî

 

Thierry Huillet

Après avoir vécu le premier confinement comme une expérience intéressante, proche de l’exil volontaire et introspectif sur une île déserte ou sur les hauteurs himalayennes, je dois avouer que j’accueille le deuxième comme une redite un peu lancinante et assez lassante. Ma crainte est que cette accoutumance à une forme de déshumanisation ne devienne la norme et que nous finissions par ne plus être gênés de ne voir que la moitié des expressions de nos interlocuteurs. Je me dis également que les privations de nos libertés et de nos envies sont tout de même modérées en comparaison de situations de guerres ou de longues dictatures et que la patience aura raison des désagréments actuels. Bref, ne nous habituons pas, n’acceptons pas, mais ne dramatisons pas!

Clara Cernat 

Je suis partagée. Je pense qu’arrêter toute une ville culturelle est brutal et avec des répercussions sur le moral des gens qui ne peuvent pas vivre sans culture en live (Théâtre, Concerts…). Actuellement tout se discute en chiffres, jamais en qualité de vie que le monde abandonne de façon forcée.  Je me soumets de façon disciplinée à ces décisions que je n’approuve pas.

 

Diana Baroni

Ce nouveau confinement me désole. Je vois notre société engloutie par la panique et la terreur; la répression dans les rues me rappelle la dictature de mon enfance chez moi, à Rosario, en Argentine. Ma plus grande désolation c’est l’ignorance et la confusion à laquelle cette pandémie nous condamne. Le pire des risques dans une société c’est l’anéantissement et la perte de perspective dans un regard large. Je ne supporte plus les mensonges et la manipulation dans laquelle nous nous trouvons actuellement.

 

Jean Tubéry, pour l’ensemble La Fenice

Ce nouveau confinement est bien sûr la pire des rechutes pour nous, face à ce virus contagieux qu’est l’angoisse devant la pandémie… L’art n’est pas une « première nécessité » dans notre société : nous le savions déjà ! Les livres et les fleurs non plus… et c’est tout aussi grave sinon davantage, pour les artistes et les poètes que nous sommes, et que chacun d’entre nous recèle en soi.

Face à cette dictature de la raison sur la passion, notre seul recours est de créer, ou de re-créer : entre musiciens, danseurs, gens de théâtre… artistes de tous horizons, loin hélas de notre public qui reste notre raison d’être d’êtres vivants, qui communiquons auprès de notre prochain.

C’est pourquoi nous venons d’enregistrer à la cité de la voix de Vézelay notre programme des Misteri Gloriosi (musique du Rosaire dans l’Italie baroque), avec les jeunes musiciens de notre nouvel ensemble La Fenice aVenire.

Des artistes heureux d’être en résidence artistique !

Malgré la crise sanitaire et ses lourdes conséquences dans le secteur du spectacle vivant, l’Abbaye de Sylvanès est heureuse et fière d’avoir pu offrir à de nombreux artistes l’occasion de créer ensemble, de se produire en public, d’enregistrer leur répertoire ou encore de concrétiser de nouveaux projets artistiques … Ils sont 56 à avoir été invités à résider dans les murs de juillet à novembre 2020 !

Retour en images sur la résidence de création artistique des ensembles Scandicus et Mora Vocis qui ont travaillé sur des extraits de leur création commune 2021 :  La Messe Pascale  « Et Ecce Terra Motus » à 12 voix mixtes d’Antoine Brunel.   Cette œuvre constitue une véritable révolution dans l’histoire de la musique, si bien qu’elle sera copiée des décennies plus tard par d’autres compositeurs !

Neuf artistes de la compagnie la Tempête sous la direction de Simon-Pierre Bestion ont également résidé du 14 au 19 juillet dernier. A l’abbaye, ils ont peaufiné leur programme de musique méditerranéenne « Antiphonos ».

Puis à l’automne, ce sont les ensembles Canticum Novum sous la direction d’Emmanuel Bardon et l’ensemble de musique contemporaine Dedalus associé au GMEA d’Albi qui ont investi les murs ! Les premiers pour produire leur prochain album consacré au programme musical  Al-Basma « l’Espagne des 3 cultures »  et les second pour enregistrer des œuvres de Brian Eno, compositeur et producteur britannique né en 1948.

Les résidences artistiques se poursuivront en 2021 et le centre culturel de rencontre continuera plus que jamais à soutenir le travail de recherche et de création d’artistes, instrumentistes, compositeurs ou interprètes  !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le projet chorale à l’école s’adapte au contexte sanitaire !

C’est avec joie que nous avons appris que les ateliers de chant pouvaient se poursuivre en classe, évitant ainsi de suspendre une seconde fois le projet « Chorale à l’école » !

En effet, le projet a redémarré dès septembre pour sa deuxième année avec une classe de plus, soit 9 écoles sur les 14 que compte notre territoire intercommunal à savoir :  les écoles publiques de Belmont-sur-Rance, Brusque, Murasson, Montagnol, Fayet, Montlaur, Saint-Sever-du-Moustier, Saint-Sernin-sur-Rance et l’école privée Saint-Michel de Camarès. Dans le contexte actuel, la reprise de la pratique vocale et instrumentale dans les établissements scolaires reste possible dans la condition où les intervenants extérieurs respectent le protocole sanitaire en vigueur. Cependant, il faut bien reconnaître que le port du masque imposé à tous les enfants dès 6 ans rend la pratique du chant choral extrêmement difficile, en limitant notamment les capacités respiratoires, indispensables pour chanter dans de bonnes conditions.

Séance du 22 septembre à l’école publique de Saint-Sever-du-Moustier

Marine Desola, musicienne intervenante dans les écoles du sud Aveyron dans le cadre de ce projet, a rapidement réadapté ses séances et voici pour exemple le programme de celle à venir :

1- Jeu d’écoute et de rythme « la machine musicale » : les enfants répartis en demis groupes se mettent en ligne et le ou la premier(e) élève propose un rythme corporel qu’il doit faire incessamment, pendant que le suivant créé un autre rythme par-dessus, et ainsi de suite jusqu’au dernier. Ensuite, le second groupe propose une autre « machine ».

2- Chant « Hello Goodbye » (Les Beatles, 1967) : apprentissage de la seconde partie de la chanson avec des gestes, sans chanter, à la façon d’un mime.

3- Jeu de placement « Stop Statue » : les enfants marchent dans la pièce, au son du piano, puis au *stop*, ils s’arrêtent sur place en imitant une statue muette et immobile. Variation : au *stop*, les enfants doivent se placer en position « chorale », à pas de loup, sans bruit ni chahut.

4- Culture musicale : découverte des jeux vocaux pratiqués par les femmes Inuit d’Alaska, à travers un court reportage de France Musique.

Nous souhaitons une bonne continuation de l’année scolaire à tous les enfants et les enseignantes… en espérant rapidement des jours meilleurs !

Pour mémoire, ce projet initié par l’Abbaye de Sylvanès et la Communauté des Communes Monts Rance et Rougiers, s’inscrit dans la ligne du Plan Chorale national. Il est porté en partenariat étroit avec le Conservatoire à Rayonnement Départemental de l’Aveyron, l’Education Nationale, Aveyron Culture et la DRAC Occitanie.

Fauré sur les grandes orgues de Sylvanès

Nous avons le plaisir de vous dévoiler la version intégrale de l’interprétation de la Pavane opus 50 de Gabriel Fauré par Henri-Franck Beaupérin : une version adaptée pour orgue par le titulaire des grandes orgues de Sylvanès.

Réalisé en septembre 2020 à l’Abbaye de Sylvanès par Quentin Lagny de la société de production Les Voix célestes  !

Rendez-vous le 25 novembre pour une autre vidéo !

 


 

 

Bach sur les grandes orgues de Sylvanès

Comme prévu, ce vendredi 25 septembre, nous avons le plaisir de vous dévoiler la version intégrale de l’interprétation de Sinfonia Cantate BWV 146 « Wir müssen durch viel Trübsal in das Reich Gottes eingehen » de Johann- Sebastian Bach  par Henri-Franck Beaupérin : une version adaptée pour orgue par le titulaire des grandes orgues de Sylvanès.

Réalisé en septembre 2020 à l’Abbaye de Sylvanès par Quentin Lagny de la société de production Les Voix célestes  !

D’autres vidéos suivront prochainement ! rendez-vous les 25 octobre et 25 novembre !

 

Retour en images sur le 43e festival

Une quinzaine de concerts, 5000 spectateurs…  c’est certes, mesures sanitaires oblige  la moitié de la fréquentation d’un festival habituel (amputé cette année des 2/3 de sa programmation) mais surtout une grande satisfaction : celle d’avoir pu tout mettre en œuvre pour maintenir cette édition revisitée et allégée du 43ème Festival pour la vie de notre abbaye, de notre territoire, en solidarité avec tous nos amis artistes et avec le soutien de nos partenaires institutionnels.

Devant  un public ravi d’assister enfin à un concert et des artistes tellement reconnaissants de pouvoir se produire sur scène, le directeur artistique Michel Wolkowitsky et sa dynamique équipe se félicitent d’avoir, malgré le contexte, pu offrir tout au long de l’été de superbes instants d’harmonie, de beauté et d’espoir !  Un grand merci à tous : festivaliers, artistes, partenaires, stagiaires et bénévoles qui ont fait de ce festival un moment unique !

Pour ceux qui n’ont pas pu se déplacer, voici quelques extraits vidéos à partager  !